Je viens de revoir Bienvenue à gattaca...
Toujours prenant, toujours sympa, et maintenant que je l'ai rafraichie, je peux te dire c'est quoi la phrase qui m'avait le plus marqué, Laelounette :
Quand Vincent viens juste de se faire retrouver par son p'tit frère, ils retournent faire trempette, nagent, nagent, nagent, et finalement, comme la fois d'avant, c'est Vincent qui sort victorieux de leur petit duel... Alors l'autre lui demande comment ça se fait qu'il soit allé aussi loin, et il ne parle pas que de la distance parcourue en nageant, bien sûr, et le héros lui répond :
"Parce que je n'ai jamais économisé mes forces pour le retour."...
Ouais, je sais, c'est con comme phrase, mais personnellement, j'ai une relation particulière aux rêves, et un rêve qui vaut qu'on se donne assez pour l'atteindre au point de s'oublier soit même, ça m'émeut...
(Et après tout, comme l'a dit un jour un monsieur que je ne connaissait pas jusqu'à la semaine dernière bien qu'il ait vécu au XVème siècle : "Rien n'existe qui n'ai au préalable été rêvé"...)