l'amitié ?!

j'en connais un qui dois criser ^^
au départ c'est partis d'une discussion avec sardhack qui semble ne pas avoir la même vision des choses que moi.
Alors voyons donc nos différentes opinions

Pour être bref l'amitié c'est, for me, sentir une forte affinité avec une personne. Je parle pas juste de camaraderie hein, je parle du vrai sentiment d'affection qu'on peut avoir pour une personne parce qu'on partage bcp de choses avec elle, qu'elle nous comprend, nous enrichit, nous fait grandir.
Même si parfois ce partage se fait avec bien peu de mots. Avant tout c'est sentir qu'on est pas seul, qu'il y a quelqu'un qu'on affectionne et qui nous le rend bien (quoi que ça dépend des cas z'allez me dire)

Et alors, l'amitié est ce éternel ?
pas pour moi.

Selon mon opinion et expérience les amis c'est des gens qui comptent à un moment dans votre vie. Ils font un bout de route avec vous.
Et puis chacun évolue, pas forcément au même rythme, pas forcément dans la même voie. Parfois les chemins se séparent. On ne sent plus cette affinité entre nous. Alors on se quitte, tout en gardant toujours une partie de nous qui pense à l'autre.

Forcément quand on perd un ami on est triste, c'est bien souvent une déchirure. Mais au détour de notre chemin on finit par rencontrer une autre personne, et c'est repartis...

l'amitié ça nait, ça vit, ça meurt, et ça recommence...

"c'est comme les maillons d'une chaine du grand cycle de la vie"

L'amitié, c'est comme un membre... tu crois que tu posséderas toujours tout tes membres, et le jour où tu en perds un, tu ne t'en remets jamais vraiment.

Voilà tout ce que je dirai ici... Parce que c'est un sujet qui m'attriste et ménerve en ce moment...

Et en effet... pas cool de rendre publique nos débats...

ben heu heu...
pourquoi ça te plait pas que je vienne donner mon opinion ici ?
c'est enrichissant d'avoir les opinions des autres et je n'ai pas retranscrit notre convers...

Mais mais...

Je suppose que c'est parcque ça te touche, désolé de t'avoir blessé ce n'était pas mon intention

Eh bien, même si cela ne me regarde pas, ce que éléade dit me choque...

"L'amitié ça nait, ça vit, ça meurt et ça recommence..."

Eh bien je ne suis pas d'accord, mais alors pas du tout d'accord. C'est tout à fait vrai pour l'amour, le sentiment amoureux trop souvent ne dure pas... Mais une véritable amitié, au sens fort du terme implique aussi du respect, de l'estime... On ne tourne pas le dos à un ami comme ça, pour rien... Je ne l'ai en ce qui me concerne jamais fait et je ne le ferais jamais... Les amis qui sont sortis de ma vie en sont toujours sortis pour des raisons valables, le plus souvent soit parce que c'est eux qui m'ont rejeté, soit parce que j'avais réellement des choses à leur reprocher (le plus souvent, parce que ces soit disant "amis" passaient leur temps à me dire du mal d'autres amis à moi, pour rien, comme ça, sans raison, par pure jalousie. Autant j'accepte volontiers que l'on dise du mal de moi, que l'on me démolisse même, autant je n'accepte pas que l'on dise du mal des gens que j'aime.)

Je suis désolé, éléade, j'aurais peut-être du t'écrire ça en privé, mais c'est toi qui a rendu ce débat public... Mon cher Sardhack, un type formidable que j'estime beaucoup et dont j'ai pu constater le grand coeur et l'intelligence dans des messages privés, doit être très blessé par tout cela, et je tenais à l'assurer de ma profonde amitié qui en ce qui me concerne lui est acquise tant que lui le souhaite...

Eléade, l'amour ça passe, oui, mais l'amitié, je veux dire la vraie amitié, cela dure toute la vie...

Mais je ne veux plus polémiquer ici, je suis choqué par tes propos et déçu, c'est tout.

eh ben je pensais pas choquer autant de personnes... eith si tu passe par là, ton avis sur la question ^^ ?

En tout cas que vous ne pensez pas pareil que moi c'est normal et je le respecte, et de mon coté je ne suis pas choqué de votre opinion. L'amitié est éternel ben pourquoi pas, chacun son opinion.
Mais vos réactions m'étonnent parque a priori je ne vois pas où est le problème. On voit les choses différement ok c'est pas une raison pour se bouffer...

Selon moi on apprend des différences, et présenter des points de vues divergents est toujours une ouverture pour l'esprit. Encore faut il accepter le débat...
Et j'ai l'impression que vous ne pouvez pas l'accepter, probablement parce que justement pour vous l'amitié c'est sacré et le fait de voir les choses comme moi est quelque part une hérésie (façon de parler hein ^^)

Je peux peut être me tromper carément sur vos réactions hein, je cherche juste à comprendre où est le problème pour le régler.

Sergio je tiens à préciser que ma vision des choses plus "libertine" si l'on peut dire ne veut pas dire que l'amitié n'est pas quelque chose de très important pour moi.

J'ai un peu l'impression que vous élevez votre vision de l'amitié aux cieux, et donc que ma vision parait être l'excès inverse, totalement "diabolique", dénuée de scrupules (j'exagère hein mais c'est pour qu'on comprenne ^^) alors qu'elle est "intermédiaire".

La "souplesse" de ma vision des choses ne veut pas dire que l'amitié est pour moi que quelque chose de passager sans interet, ciel non !

Je sais ce que c'est d'avoir une amitié profonde avec quelqu'un, de se sentir comme deux doigts de la main.
Je connais la douleur de la perte d'une meilleure amie qui paraîssait irremplaçable -à cause d'évenements extérieurs (ses parents).

Je connais aussi le sentiment de n'avoir plus rien à partager avec quelqu'un avec qui pourtant on a été si proche, parcque nos routes se sont séparés sans même qu'on s'en aperçoivent, et ce dernier point visiblement vous ne l'avez pas vécut...
Est ce que j'ai juste ? Je ne vois pas d'autre explication à votre réaction... Si je n'avais pas ressentis dans mes tripes ce sentiment là, je crois que je me dirais tout comme vous que lamitié est éternel...

Pour conclure je dirais que l'amitié est multiples. Il y a dieux sait combien de styles d'amitié (tout comme en amour).
Une amitié peut être fusionnelle, passionnelle, attentionnée etc

Pour prendre des cas concrets parlons de nous...
(Remarquez au passage qu'une des caractéristique de l'amitié c'est savoir remettre les choses en questions et ne pas hésiter à donner son avis quitte à blesser l'autre comme je le fait actuellement. C'est comme ça qu'on évolue, parqu'une vrai amitié sait aller plus loin.)

Sergio nous nous connaissons peu mais cela ne fait rien. Pas besoin de mots. Te savoir attentif à moi m'apporte bcp, tout comme l'inverse est vrai je pense.
Notre amitié se "résume" peut être à cette attention l'un envers l'autre, mais ce n'est pas rien, loin de là.
Merci

Sardhack, ah mon chevalier...
Tu es l'oreille attentive qui m'écoute, me console, qui partage avec moi de beaux moments jour après jour, l'épaule sur qui m'appuyer...
Tu compte énormément pour moi ! C'est incroyable tout ce que tu m'apportes, je ne peux que remercier le je ne sais qui ou quoi qui a permit notre rencontre, sans toi je serais aux trente sixième dessous...
J'ai beaucoup d'affection pour toi...

(snif me voilà très émue)

Petite pensée pour ma eithounette adorée !
Je regrette souvent que tu sois à ce point overbooké mais c'est la vie.
je suis très fière d'être ta maraine et tu m'as apporté bcp
merci à toi

voilà, mon coeur a parlé ^^
n'hésitez pas à vous aussi vous laisser aller

Merci, Eléade !!!

Ta petite mise au point me rassure... et me fait beaucoup de bien.

Je suis rassuré que tu dises ce que tu dis sur moi, Sardhack, Eithounette... Eh bien oui, cela me fait du bien, car en lisant ce que tu avais écris avant, je ne comprenais pas ton point de vue.

Ce qui compte, vois-tu, est que tu comprenne que l'amitié est à la fois quelque chose de solide et de fragile, de beau et de fort... Sans amis, la vie n'aurait pas de sens !!! On ne peut pas vivre seul, en faisant abstraction des autres... Ici, sur le forum de notre eithounette, on est un petit cocon, une petite famille du net... Alors, c'est important, très important oui, que l'on ne perde jamais de vue que nous sommes tous ici importants les uns pour les autres. Moi, je vous aime tous profondément, toi, Sardhack, Eithounette (si j'avais eu la chance d'avoir une soeur, j'aurais aimé que ce soit Eithounette...), Démétrios (qu'est-ce qu'il nous manque... Reviens stp Démé !!!...), Phoenix aussi, à travers Eith, même s'il n'écrit presque jamais... Je vous aime pour ce que vous êtes, parce que vous êtes tous devenus des amis proches, chers à mon coeur et que vous comptez tous et toutes énormément pour moi.

Merci de cette mise au point Eléadounette...

Je t'embrasse fort,


Nicolas rassuré et heureux...

il y a différents degrès d'amitié.
il y a ceux qui compteront toujours mais ceux là sont si rares qu'on ne peut les compter que sur les 10 doigts de la main, et encore...
et puis il y a les gens qui comptent énormément a un moment de notre vie et avec lesquels on ne peut pas savoir si ça sera "pour toujours" ou "pour un temps".
j'ai eu des amitiés fortes, plus fortes que tout qui ont duré quelques mois, et des amitiés qui semblent plus distantes, mais ces amis là je les aurais toujours.

maintenant moi je veux tous les (vous) garder, c'est a eux de décider s'ils veulent s'éloigner de moi.

Bah nous aussi on t'aime, notre eithounette au grand coeur... Pas besoin de grands discours entre nous, pas même besoin que l'on se rencontre "pour de vrai"... Je sais depuis un certain temps déjà que tu fais partie de mes ami(e)s les plus proches, ceux pour lesquels j'ai une pensée tous les jours, ceux qui sont là pour moi quoi qu'il m'arrive et pour lesquels en retour moi aussi je suis et serai toujours là...

Gros bisous, ma soeur de coeur !!!

tu résume très bien et simplement ce que je pense ma filleule adoré ^^

^^
des fois il parait que j'ai els idées trop arretées... mais au moins ça permet de faire court

Avant de mourir, un homme très sage demanda à son fils :

- mon fils, sais-tu le nombre de tes amis ?

Le fils répondit :

- mon père, je crois en avoir une centaine.

Le père répondit aussitôt :

- mon fils, les sages disent : n'appelle jamais un homme ton ami avant de l'avoir mis à l'épreuve. Moi qui suis beaucoup plus vieux que toi, je n'ai connu dans toute ma vie que la moitié d'un ami. Comment pourrais-tu en avoir une centaine ? Mets-les tous à l'épreuve et tu sauras si parmi eux-tu peux posséder un ami véritable.
- Mon père, répondit le fils, comment pourrais-je reconnaître un ami véritable ?
- Abat un mouton, coupe le en morceaux et met le dans un sac taché de son sang. Portant ce sac, va trouver alors celui que tu appelles un ami en lui demandant de bien vouloir enterrer cet homme que tu as été obligé de tuer et que tu portes se tes épaules. Et tu ajouteras : personne ne le saura et tu me rendra un grand service, car je suis dans une situation désespérée.






Le fils fit aussitôt ce que son père lui avait conseillé.
Il alla trouver son ami le plus proche. Mais l'ami répondit :

- n'entre pas dans ma maison ! Enterre ce mort toi-même, car tu as commis une mauvaise action.

Le jeune homme se rendit chez tous ses amis, mais partout il reçut la même réponse. Il revint alors chez son père et, tristement, lui raconta ce qui lui était arrivé.

- nombreux sont les amis dans les jours heureux, dit son vieux père, mais dans la détresse ils sont rares. Maintenant va trouver l'homme dont je t'ai dit qu'il était la moitié d'un ami et écoute bien ce qui va te dire.

Le fils se rendit chez l'homme dont son père avait fait l'éloge et il lui demanda de lui rendre le même service.
Le fidèle lui répondit :

- entre dans ma maison sans faire de bruit pour que les voisins ne t'entendent pas.

Et il ordonna à sa femme, à ses enfants et à tous ceux qui habitaient chez lui de sortir. Quand il fut seul avec le jeune homme, il creusât un trou pour y cacher le cadavre.
Quand le jeune homme vit combien fidèle était le coeur de cet homme, il lui avoua la vérité et le remercia.
Il rentra chez lui et raconta à son père tout ce qui s'était passé. Puis il demanda au vieil homme :

- mon père, si cet homme n'est que la moitié d'un ami, as-tu jamais rencontré un homme qui fut un ami tout entier ?
- je n'en ai jamais rencontré moi-même, dit le père, mais j'en ai entendu parler.







Et le vieillard dit à son fils :

- on m'a dit que deux marchands qui habitaient des villes très éloignées l'une de l'autre et ne se connaissaient pas personnellement étaient des amis véritables. Un jour, un des marchands décida de se rendre dans la ville où vivait le second marchand. Quand celui-ci appris que son ami était en route, il alla à sa rencontre, l'embrassa et le conduisit dans sa maison. Il donna en son honneur une grande fête qui dura huit jours et il montra à son invité toutes ces richesses, ses esclaves -- femmes et hommes -- et ses instruments de musique.
Huit jours plus tard, l'invité tomba malade. Son hôte en fut très affligée et fit venir tous les médecins et tous les sages du pays qui examinèrent le malade, mais ne surent trouver la cause de son mal. Ils finirent part affirmer qu'il était malade d'amour.

Aussitôt le marchand alla trouver son ami lui demanda si l'objet de son amour vivait dans sa maison.

Le malade répondit :

- si tu me montres toutes les femmes qui habitent chez toi, je te désignerai celle que j'aime.

Le marchand fit venir toutes les esclaves de la maison pour que son ami désigne l’élue de son coeur.
Mais le malade n'en désigna aucune.
Toutefois, il y avait encore une jeune fille dans la maison. Elle était belle comme le jour. Le marchand l'avait fait venir chez lui depuis son enfance ; elle devait, lorsque le temps serait venu, devenir sa propre femme.
Le marchand la fit appeler et, dès que le malade la vit, il s'écria :

- c'est elle !

Aussitôt le marchand offrit à son ami d'épouser cette jeune fille, et la dota, comme c'est l'usage. Lorsque le marchand fut guéri, il retourna dans sa ville natale, accompagné de sa jeune femme.
Plusieurs années passèrent, il arriva que le marchand qui s'était montré si généreux envers son ami perdit toute sa fortune. Il se dit alors :

- je vais aller trouver mon ami auquel j'ai offert l'hospitalité que j'ai guéri en lui donnant son épouse. Il aura certainement pitié de moi.

Et l'homme se mit en route, dépourvu de tout. Il marcha longtemps, pendant des jours et pendant des semaines, et atteignit le but de son voyage au milieu de la nuit. Il décida d'attendre le jour pour se rendre à la maison de son ami, et s'assit -- car sa lassitude était extrême -- à l'entrée de la ville, pour se reposer.
À peine était-il assis que des habitants de la ville arrivèrent. Ils étaient lancés à la poursuite d'un assassin. En voyant l'étranger assis sur le bord de la route, ils l'accusèrent de l'assassinat. L'homme était tellement las qu'il n’eut pas la force de se défendre. On le jeta en prison et, le lendemain, il fut amené devant le tribunal qui le condamna à être pendu.
L'exécution devait avoir lieu dans l'après-midi. Une grande foule se rendit sur la place pour assister à la pendaison ; parmi elle se trouvait l'ami du malheureux marchand. Quand il vit celui qu'on allait prendre, il reconnut son ami et se souvint de sa fidélité, de sa générosité et de tous les bienfaits qu'il avait reçus de lui.

- pourquoi voulez-vous prendre cet homme ? S'écria-t-il en s'adressant aux juges. Car ce n'est pas lui l’assassin, c'est moi.

Les juges furent obligés de relâcher l'homme qu'ils allaient faire prendre et d'arrêter celui qui avouait son crime.

Le marchand se prépara donc à être pendu à la place de son ami.

Mais parmi la foule se trouvait le véritable assassin. Personne ne le connaissait. Il vit avec une extrême stupéfaction qu'un innocent voulait mourir à la place d'un autre innocent, alors que lui-même était coupable.

- Dieu est juste ! S'écria-t-il. Il ne laissera pas un crime sans châtiment. Il veut me réserver une mort plus horrible. Je dois avouer mon crime, accepter la punition et sauver cet innocent d’une mort qu’il n'a pas méritée.

L'assassin se présenta devant les juges et s’écria :

- Ô juges, ne faites pas mourir un innocent à la place du coupable ! C’est moi qui ai versé ce sang.

Quand les juges entendirent ces paroles, ils arrêtèrent le criminel pour l’exécuter et libérèrent le marchand.

Celui-ci conduisit son ami dans sa maison. Il lui offrit de la nourriture et des vêtements. Puis il lui confia toute sa fortune et lui donna sa maison…

Le vieil homme se tut et dit à son fils :

- Voici mon fils, l’histoire d’un ami véritable.









Un ami véritable (conte d'Israël)

magnifique tout ça (enfin l'anglais j'suis pas sur d'avoir bien compris :s)
que dire si ce n'est... si, vis à vis du conte, de la première histoire lorsque le fils fait croire qu'il a tué un homme et demande de l'aide à ses amis, pour moi le vrai ami n'est pas celui qui l'aide à l'enterrer sans rien dire. Oui il se doit de l'aider, mais il se doit aussi de dire ce qu'il pense de son acte.
L'amour rend aveugle mais ce n'est pas une raison pour se taire...

Ce n'était qu'un demi ami.

tous les amis ne sont ils pas des demi-amis?
^^
dsl je susi dans une période sociopathe

lol

il y a des tiers d'ami aussi mdr

Généralement, on est ami avec un tiers...

aussi des fois on a un car d'amis

Mais sont-ce de vrais amis ?

Découpons les en 4 pour savoir si un quart d'ami du car vaut un seul ami entier...

Eh bien moi, j'ai toujours été meilleur en amitié qu'en mathématiques...

idem ici lool

pareil :p
mais peut etre si on prend quatre quart au hasard dans le car d'amis on trouvera un ami entier?

-_-" J'ai comme l'ombre d'un doute...